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Perou, Part 1 : Lima et la cordillera blanca.

  • caroasacados
  • 8 nov. 2016
  • 14 min de lecture

18.10.2016 Yo les gens. Et voila, me voila répartie. Si j'avais su que ca serait aussi dur de repartir malgré l'envie d'exploration qui m'animé. Me voila de bonheur heure sur Charles de Gaulle accompagné des deux personnes les plus importantes de ma vie : mes parents. Encore des au revoir difficile, surtout que pour la première fois, les mois de séparation ne seront pas entre coupé de petites visites. Première escale à Amsterdam, nouveau contrôle de passeport. Et là alors que je me jette à corps perdu dans la foule, la nana qui gère la file de oú tu vas en fonction de ta nationalité (donc qui n'est même pas douanière) me refuse l'accès car "faut que j'enlève ma protection plastique sur mon passeport ". Réaction immédiate de ma part "pourquoi ?", réponse de la connasse (Ouai je me permet, car quand on pète plus haut que son cul ca me soule, encore plus en prônant le coup de bâton plutôt que l'explication) "parce que je vous le demande". Bon dieu que vous savez mon aversion total pour les règles debille imposer et non expliqué. Elle aurait pu très bien me dire "ca rentre pas dans le lecteur informatique". Non c'est fait ce que je dis point, et ne réfléchie pas. OUHHHHHH que ça ma gavé. Puis après, après avoir traversé tout l'aéroport, j'ai observer tout les gens, soit plus de 150 debout comme des trous de balle (ah bah si, la si... aussi) à faire la file d'attente avant même quelle commence pour -être le premier dans l'avion-. WHAT THE FUCK ? - Les gars, on a une place attitré, on se calme. Les gens sont devant moi, debout collé les uns aux autres, depuis plus de 30 minutes. Stupide. Bref' La foule. Après une bonne heure d'attente car notre avions avait un problème technique. C'est le décollage. Direction LIMA au Pérou.

Durant le voyage, j'ai eu le droit à un plateau repas à mon nom (grave la classe), on nous a demander avec mes voisins de droite et de gauche si on été de la même famille ... euhhhh ils sont méga plus foncé de peau que moi. Je veux dire Y a pas photo .... , j'ai pu regarder 3 films, lire 2 heures, dormir à 4-5h, ....

Et nous voila sur le sol du Pérou. Nickel Michel. À oui, je dis NOUS, car au passage j'ai retrouvée Nicolas, avec qui je vais partager une partie de ce voyage. On passe la douane Nickel, on récupère nos bagages sans problèmes (délivrance...) puis il est temps de trouver un taxis (car Lima n'etant pas une ville bisounourse. Il est très conseillé de prendre un taxi dans l'aéroport même). Comme plus on est dans le taxis moins c'est chère. Je répète deux sac Quechua, qui à mon bonjour comprenne Illico oú je veux en venir. Et nous voila 4 vadrouilleurs dans le taxi, ... dans un trajet très long. On va comprendre que OUIIIII Lima c'est TRES grand, qu'il t'a beaucoup de voiture, que conduire est un sport et que tu n'a pas trop interet à trop tenir à ta voiture, que c'est la guerre sur les routes et que c'est pas parce que c'est une trois voie que tu pourrais pas en crait une 4 ème, comme ca en serant bien entre deux voitures... Une fois dans le quartier de Miraflores, le plus bourges mais le plus sécure, on trouve une auberge et zouuu. Jetage dans un lit. (Après avoir pris une superbe douche.. oh yeah). D'ici j'ai 7 heures de différence en moins avec la France. Il est l'équivalent d'un 6 heures 30 du matin, je suis explosé. 19.10.16 On se lève tranquillou à l'auberge, on avale un bon petit dej puis on se jette dans Lima, direction le Centre ville. Y'a pas de doute, mon espagnol n'est pas top mais très utile. Cela doit quand même être bien difficile sans la langue pour se faire comprendre.

On se fait aider par David, un gars de Cuzco vivant à Lima. Les transports en commun c'est la guerre, c'est chacun pour sa gueule, et y'a full de monde tout le temps. Son aide est donc la bienvenue.

On visite avec Nicolas, le Centre Ville, les parcs et Miraflores ainsi que ça cote au coucher du soleil avec vu sur l'océan.

(Quand t'a pas de chapeau, prend ton journal.... Une mode qui s'affirme de jours en jours...)

(Lima sous un autres angles que le centre ... centre qu'on nous deconseille de quitter pour des raison de securité...)

(On a assister à une sorte de Master Chef Local....)

(Un p'tit chapeau en Alpaga ??)

(La circulation fluide ... et non bruyante, c'est par leur truc. Le plus gros (ou celui qui a le moins peur pour sa voiture..) et rapide gagne toujours... )

(Quand tu retrouves tes bonnes veilles habitudes dans les endroit reculer pour manger ... La petiter sauce lá... avec moderation. je me suis emballé, c'était FORT....)

(Quand tu sents que c'est un peu insecure au nombre de baricade aux portes et fenetre ... )

On a méga cramer. Pourtant au matin le temps été grisouille, s'améliorant dans l'après avec une chaleur de 25 degrés à tout péter. On ne pensait pas le soleil agressif. Queneni, on a pris trop chère. So vanille-Fraise. Je comprend bien mieux pourquoi même en ville les Péruviens sont quand même bien bronzé. Mais ce qui m'a bien fait comprendre que même si on est pas d'altitude, je vais me batigeonner de créme solaire , c'est l'alerte météo reçu bien après sur mon téléphone "attention alerte UV élevé , ne restez pas trop au soleil trop longtemps". Ahhhhhhhhh. Plein les pâtes avec plus de 17 km d'effectuer aujourd'hui, on ressort de l'auberge pour tenté de trouver à manger. C'est après une heure de marche et de désespoir de trouver un peu de végé et dans notre game de prix, on décide d'aller bouffer dans un pseudo fastfood local . Elle me dit qu'elle a un plat sans viande avec du poulet. Je lui dit NON, le poulet c'est de la viande. Elle me trouve donc un plat avec uniquement pomme de terre, banane plantin et oeuf. Et la, quand elle ramène mon assiette je discerne des drôles de morceaux roses dans mon assiste. Je lui demande "euh c'est quoi ca ?" Elle me répond, ahhh ne t'inquiète pas c'est de la viande. Je lui demande donc "c'est quoi", réponse de madame "du cochon" J'étais dépité. Qui plus ai, malgré le plat refait, c'était bien deguelasse. Rien avoir avec du plat plus local mangé en journée ! Ça s'annonce compliqué, compliqué niveau bouf.... 20.10.16 Comme entrée dans les transports en commun de Lima ultra full tout le temps, on décide de se trouver une station de bus pas trop loin à pieds sans passer par des quartiers qui craignent. 45 minutes de marche et hopla on choppe des billets ultra pas chère dans un bus plutôt super gamme. Et comme y'a personne dans le bus, on s'est calée dans des places bien coolos. Et c'est partie pour 8 heures de bus direction Huaraz, à 3000 mètres d'altitude dans la cordillère blanche.

(Des veritable montagne de sable...)

On a mit plus d'une heure à sortir de la ville, On a croisé des quartiers à moitié sur des monts, bien pauvre... On a croisé des montagnes de sables donnant sur l'océan avec une route creuser dedans ... ouffisime, On nous a offert un repas dans le bus , si Whatt the fuck ?, et la nana à pris un drôle d'air quand je lui est demander s'il fallait payer, On a croiser des patelins paumés, Puis on a commencé notre assencions, Ils ont demander à Nico de fermer ses rideaux "au cas oú on ait un accident, On a assisté à une vue de fou dans les montagne, même à un coucher de soleil, On est monté jusqu'a 4000 mètre, Puis redescendu à 3000. Bref on est arrivée à Huaraz. Et la, je m'attend à sortir du bus est être glacé. Pas du tout. 6 degrés et aucune humidité. Il fait bon. Encore une galère pour trouver une auberge mais on retombe sur nos pâtes. On tente de manger local. Mais pour ma part y' a de la viande dans tout, même la soupes. (Sachez que la Poule n'est pas de la viande ... je dois citer tout les animaux possible pour être sur qu'il n'en ai pas dans mon plat. Belle galère !) Et on s'offre des part de gâteaux de malade... car t'en a partout en ville. On se laisse tenter par ce gros gâteaux type america.

Demain, journée tranquillou, on s'acclimate et recherche des infos pour faire des trucs bien sympa dans le coin.

21.10.16

Journée tranquillou de vadrouille dans la ville. Regarder à quoi ressemble la ville, trouver les informations nécessaires pour les randos et treck des prochains jours, découvrir le marché local ...

Puis alors que vers 15-16h il s'est mis à pleuvoir sévèrement ... on s'est enfermer dans notre petite piaule pour rester au chaud.

C'est aussi la que nous rencontrons Isaac, un Suédois, tout juste débarqué de Lima, qui s'en vient dans le dortoirs.

22.10.16

Levée un peu plus tôt que d'habitude pour aller randonnée, Isaac s'en vient avec nous partager cette journée.

Alors qu'on part vers une marche de préparation voir des ruines dans le coin (peu attractive... mais nous connaissons l'importance de se préparer à marcher pour les prochains jours. ), on se trompe de chemin. (Enfin moi surtout, car le gars de l'auberge m'avait dis tu vas a Plaza Armas puis y a un chemin derrière. Arrivée lá bas, un gars nous dit que non, faut retraverser toute la ville car c'est de l'autre côté... La Loooose !).

Du coup on retraverse la ville quand on tombe par hazard sur les français avec qui on avait partager le taxis à l'aéroport. Bavardage et compagnie, quand ils nous disent de faire la randonnée de la cordillère negra pour la lagune de Wilcacocha car c'est pas bien compliqué et rapide d'accès. C'était le plan de demain, mais tenté nous décidons d'embarquer dans un collectivo en direction de la randonnée.

2 heures de marches dans un décors somptueux, avec tout en haut, à 3700 mètre d'altitude, une vue splendide sur la cordillère blanche.

(Il est ecrit sur la maison, que ce quartier/lieu est secure, que les voleurs sont avertis, ils seront "linché".... comme ça c'est clair...)

On y rencontre 2 parisiens campant ici depuis une semaine et ayant apprivoisé un Bébé Alpaga qu'ils tentent d'élever. Mais aussi un guide Javier, et une de ses amies, avec qui nous discuterons bien et qui nous fera descendre par un autre chemin.

Puis de retour dans la ville nous tenterons de trouver à manger (oú d'ailleurs j'ai réussi pour la première fois en espagnol à parler en m'ennervant, à la limite de la limite car la meuf se foutait de notre gueule et voulait qu'on paye plus. Étant donnée que d'Isaac et de Nico, j'étais la plus à même de le faire, c'est moi qui est prix le taureau par les cornes.).

Fatigué, mais ce n'était qu'un échauffement. Le plus dur est encore devant nous.

23.10.16

Malgré un réveil raté/loupé pour nous 3, on arrivera à partir à temps afin de nous rendre à 1 heures de là après avoir galérer à choper un collectivo (fallait trouver le bon endroit !).

C'est une belle randonnée sous un temps nickel que nous faisons jusqu'à la laguna Churup, altitude de 4550 mètre.

Je vous avoue, que pour ma part, à partir de 4200-4300, j'ai commencé à avoir vraiment du mal à respirer. Je devais donc continuellement faire des pauses pour retrouver mon souffle.

Mais c'est heureuse, après 1000 mètre de dénivelé et 2 heures de marches que nous arrivons en haut, face à la lagune et son glacier.

( la photo qu'un Peruvien a essayer de prendre de nous... j'ai bien tenter de lui expliquer comment marche le telephone ... c'est la meilleures photo qu'il a fait...)

Nicolas et le pote d'Issac se sont octroyé une petite baignade dans cette eau.... à mon humble avis, pas chaud du tout.

Le retour se fera bien plus vite, sous le caniard. C'est heureux de retrouver nos lits que nous rentrons à l'auberge.

[Dans la catégorie parenthèse: j'ai eu mal à l'oreille toute la nuit. Ce matin en me levant, j'ai compris pourquoi... j'ai une putain de cloque sur le haut de l'oreille .... et ca ressemble fort à un coup de soleil chopé la veille... les UV tape fort ici, et ca pardonne pas. Le moindre bout de peau sans crème solaire prend chère...]

Alors autant si hier j'ai choppé un coup de soleil sur le nez et les oreilles, aujourd'hui c'est les mains.

24.10.16

Journée de prépa pour le trek de 5 jours. Préparation du sac, de la bouf et des dernières choses manquante.

25.10.16

Et c'est partie pour un trek de 5 jours dans la cordillère blanche. Nous sommes sancé enchainer la laguna 69 et la santa Cruz.

Levée 5h, en attente d'un bus qui nous déposera devant le départ de la lagune (s'y rendre en collectivo avec 2 gros sac c'est bien plus galère et au même prix!).

Finalement, on devait avoir un gros bus avec soute pour nos bagage (sancé rester toute la journée dans le bus...) ,on se retrouve avec un vieux collectivo tout merdique ... on s'inquiète pour nos sac.

C'est partie pour 2h30-3h de route pour se rendre jusque là bas.

On n'est pas encore arrivée au point de départ de la lagune que le décors est fou. Des monts de malade, des lacs aux eaux méga clair...

La randonnée pour la lagune 69 est juste OUAH. Dans un cadre magnifique, avec des vallées, de la verdure partout, des cascades d'eau, des montagnes magnifiques, des glaciers de fou...

Après avoir marché 2 longues heures, péniblement, nous voila au sommet. 4700 mètre d'altitude face à un lac d'eau bleu clair/turquoise magnifique avec en prime une cascade splendide arrivant tout juste du glacier juste au dessus.

Nico s'y est accordée deux petites baignade bien fraîche. Puis nous avons entamée la redescente dans ce cadre splendide.

Arrivée en bas, Peter un américain et Leslie une française nous rejoignent.

Avec chance nous trouvons un collectivo en direction de Vaqueria oú nous debuterons notre trek de 4 jours dans la cordillère blanche.

C'est sur des routes très sinueuse, oú tu te demande si l'on ne va pas tomber dans le ravin à tout moment que nous rejoingnons notre camp de base.

Le petit village de Vaqueria est un lieu dans un décors de magnifique montagne.

C'est après avoir négocier avec les habitants du village qui voulaient tous nous héberger pour quelques sol (monnaie péruvienne) et une pluie de grêle, que nous plantons gratuitement notre tente sous un hautvent.

J'y rencontre Clara, une habitante du village d'une 60 aine d'année vraiment très sympathique avec qui je prend plaisir à échanger.

C'est à 21h alors que la nuit est tombée depuis plus de 3h que le sommeil nous emporte.

26.10.16

Réveil très tôt après une nuit ma foi fraîche mais correct.

Je découvre avec stupéfaction que j'ai été dévorer sur les jambes par des mouches noirs hier soir. J'ai des boutons absolument partout sur les jambes, ma cheville droite semble même fouler tellement j'ai gonfler de partout.

Après un bon petit dej', s'etre réchauffer... nous voila partie sur le trail.

On parcours des vallées, des monts avec vue sur des montagnes, glaciers de fou. C'est absolument magnifique. On Enjoy à fond.

En fin de journée on se trouve un petit spot bien sympa à 4200 mètre d'altitude, face à un décors de fou, on y plante la tente. ... la nuit va être fraiche.

Il est 19h est nous sommes retranché dans nos tentes à l'abris du vent et du frai pour tenter de se réchauffer un minima dans les sacs de couchage.

Demain est une grosse journée. On a un passage de col à 4700 mètre d'altitude, avec les gros sacs. Ça ne va pas être du gâteau.

27.10.16

Une nuit plutôt fraiche, un réveil plein soleil qui m'a bien chauffer, véritable sauna, avec toutes les couches que j'avais.. on peut même y ajouter 2 mules/vaches passant devant notre tente.. j'y ai vu un museau tenter de passer sous la tente pour choper quelque chose dans mon sac.

Après un réveil tranquillou, un pliage générale d'affaire et un petit dej' avec un maté de coca... nous voila repartie pour une nouvelle journée de vadrouille.

Et dès le matin on tape dans le dure. C'est 3 grosses heures de monté, la plus dur de ce trek avec un sommet à 4750 mètre d'altitude.

J'en chie mais j'en chie après avoir passée les 4400 mètre. Aucune douleurs spécifique, mais le manque d'oxygène plus la pente fait que mes jambes ont beaucoup de mal.

(le petit bonhomme en bas de la photos, ... c'est moi qui traine...)

Arrivée en haut, c'est juste splendide. La vue est magnifique, les glaciers sont magnifiques,..juste ouah.

On s'y octroie une bonne pause bouf, avant de redescendre dans la vallée, de l'autre côté, tout aussi magnifique, pour rejoindre une air de campement.

Après le montage de tente, c'est l'heure de la bouf. Ca rechauffe, ce soir il ne fait vraiment pas chaud et l'air est humide.

On est dans un superbe décors, encore à 4250 mètre d'altitude, et après le repas on assiste à un merveilleu couché de soleil qu'aucune de mes photos n'arrivera à le représenté aussi magnifique qu'on a pu l'observer.

FROMAGEEEEUH

(derriere une jolie photo en plein coeur de la montagne a plus de 3000 meltre d'altitude, on ressemble a ca =) )

La nuit tombé, les gars ont de nouveau tenté de faire un feu, Peter a fait passer tout son cahier de note d'espagnol ... mais cette fois, le feu à pris, difficilement , mais il a pris.

Demain on entame notre 4ème journée de trek... et c'est avec plaisir que je me leverai 😃

(En moyenne on fait quand même des nuits d'environ 8-9-10h à force de se coucher à 20h... même si ce n'est pas les nuits les plus revigorantes... cela fait ben du bien :) )

28.10.16 Et c'est un réveil frileux mais entouré d'un décors de fou que nous nous réveillons. La toile de tente séché, le sac fait et le petit dej' pris... nous voila en route pour une ascension (bien trop) longue vers une lagune avec un bon gros détour de 6km.

Même si nous perdrons Peter en cours de route (mais nous mettrons plus de 3h à nous en rendre compte... soit une fois au sommet), le paysage est juste fou. La lagune est magnifique entourée d'énorme glacier de folie.

Une fois n'est pas coutume, ce fou de Nico se jettera dans l'eau alors que le soleil aura disparu pour un bon petit bout de temps, et le vent se lèvera. Comme toutes les choses se finissent bien, on retrouvera Peter, qui s'était tromper de chemin sur une intersection. On entame la redescendre dans un décors qui se transforme petit à petit. On quitte des énormes étendues d'herbe pour trouver un espace quasi désertique entre les immenses montagne qui nous entoure.

(le petit chat sauvage sur lequel on aura tous bien beugé... )

C'est une longue marche qui commence. On récupère un américain au passage et nous marchons jusqu'a ce que la nuit nous menace, le nuage de pluie avec et jusqu'a ce que l'on trouve un terrain plat pour poser les tentes. On aura à peine le temps de manger que la pluie se mettra à tombé, mais en nous offrant un coucher de soleil de fou furieux aux éclats de couleurs indescriptible. On se réfugie dans nos tentes oú nous tentons désespérément de sécher tout en se mettant au chaud. Nous dormons en dessous de 4000, mais l'humidité rend la température particulièrement fraiche.

29.10.16 C'est un réveil humide qui s'opère. Le soleil pointe le bout de son nez, et réchauffe l'atmosphère. Opération etandage de tout le matos pour le faire sécher avant de le ranger dans le sac.

(Un matin comme les autres, on seche tout le matos...)

On s'attend à une très grosse journée de mmarche au minimum 5h à en croire les guides pour retrouver le village de Caschapampa, la fin de notre trek de 5 jours. Pour être bien sur de trouver un moyen de rentrée, on marche d'un bon pas. C'est en 3h30 que nous plierons la journée.

On chopera un taxi puis un collectivo pour presque 3h de trajet au total avant de retrouver la ville d'huaraz. Emilio, le gérant de l'auberge nous met dans un dortoirs de 2 personnes. Autant dire que c'est une chambre privée, un véritable cadeau de sa part. La douche chaude et le décrassage sont particulièrement bienvenue. Car autant en montagne, on ne ressentait pas forcement le besoin de se laver, autant le retour à la civilisation (le bruit et la pollution) nous le renvoie pleine face. Après avoir enfiler nos rares derniers vêtement propre... soit un t shirt et un short,nous retrouvons Leslie en ville malgré les 0 degrés ambiant.

Échanges de photos, et griniotage... de quoi se dire à une prochaine fois . Qui sait peut être même sur la route.

C'est un magnifique trek qui se clos. 72 kilomètre avec en moyenne 15 kilomètres par jours avec parfois 1000 mètre de dénivelé positif.

J'ai bien cramer du nez, des oreilles, des lèvres ...et même des mains. Je pèle du crâne (So glam...). Mais ca en fallait la peine :)

Demain nous changeons de destinations. Direction Trujillo


 
 
 

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